Désolée d’avoir à l’annoncer aussi brutalement !
Alors qu’il était dans un état stationnaire, Raisin n’a pas résisté à sa seconde nuit chez le vétérinaire.
Il est mort ce matin.
On ne sait toujours pas de quoi.
Ca y est, je me suis décidée, un peu poussée il faut le dire par des puristes qui étaient effarées devant le spectacle qu’offrait ma tête avec des tresses qui avaient 8 mois. La première étape de ce long processus consiste à enlever ce qui existe déjà. Le détressage. Il faut donc patiemment détresser l’environ centaine de tresses qui sont sur ma tête. Vu la longueur de mes cheveux, chaque tresse fait environ 40 cm de long. Voici donc ce que ca donne une fois terminé. Emaillé, de pauses en tous genre, le détressage s’est teminé tard. Mais il fallait tout de même préparer la tête à l’étape du lendemain. Les cheveux ont donc été démélés. | ||
Le lendemain matin très tôt (aux environs de 14h, début de la seconde étape : les schampoings. Je rappelle que les tresses sont faites depuis le mois de juillet et qu’il y a un paquet de poussiere difficiles à supprimer à moins de se faire laver les cheveaux chez un coiffeur. Lavage des cheveux, puis produit soit disant fait pour déméler… contre indication flagrante pour moi, parce que mes cheveux se sont transformés en une masse de dreadlocks impossibles à déméler sans me plonger dans une profonde douleur. 3 heures !!!! | ||
Le résultat est surprenant et fait comprendre à ceux qui me connnaissent pourquoi je refuse obstinément de laisser mes cheveux voler au vent. Il est hors de question que je perde autant de temps tous les matins à tenter de déméler une tignasse digne de celle de Diana Ross ! Je préfère encore dormir. mais passons. Après une pause repas, il est 19heures et l’ultime étape est en route. Le tressage. |